Certaines associations tissées entre marques et organismes permettent de favoriser l’activité quotidienne des professionnels, de garantir un accès plus rapide et plus concret aux outils de travail dont ils ont besoin pour être opérationnels et productifs. En l’occurrence, c’est la CAPEB (Confédération de l’Artisanat et des Petits Entreprises du Bâtiment) qui s’unit avec la marque Mercedes-Benz pour optimiser l’accès des entreprises partenaires aux véhicules électriques légers du constructeur allemand.
Bref retour sur cette entente dynamique et dynamisante.
La CAPEB : de quoi s’agit-il ?
Il faut d’abord dire quelques mots de la CAPEB pour comprendre la nature de ce partenariat. Derrière ce sigle se cache donc la « Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment ». Il s’agit d’un syndicat, qui aide les patrons de petites entreprises à gérer différents aspects logistiques et sociaux. En l’occurrence et comme le nom l’indique, il est question des métiers du bâtiment – un secteur où il faut souvent réinventer ses approches : les nouvelles normes, les objectifs écologiques et l’évolution des marchés lançant continuellement des défis aux cadres.
Et parmi les projets menés, il y a celui « d’accompagner les entreprises artisanales du bâtiment adhérentes, au nombre de plus de 57 000, dans l’acquisition de véhicules utilitaires Mercedes-Benz »
Un partenariat axé sur la qualité et le suivi
Bien sûr, on peut s’en douter : la CAPEB ne finance pas les véhicules…
… Toutefois, elle offre un support au moment de commander, de sélectionner et de contractualiser les garanties. Il s’agit aussi d’obtenir un accueil privilégié dans le réseau, d’accéder à certaines nouveautés ou à des tarifs préférentiels. Par exemple, une extension de la garantie et un service d’entretien font partie du « pack complete » 36 mois / 60 000 km.
Comme pour tout partenariat réussi, les deux parties ont quelque chose à y gagner : Mercedes-Benz France peut vendre ses véhicules utilitaires et faire la promotion de leurs nombreux atouts (confort, robustesse, sécurité, électrification…) et la CAPEB, de son côté, offre des conditions intéressantes et pérennes aux travailleurs du secteur.
Le syndicat fait aussi office d’intermédiaire, de référent : il recueille les besoins d’achat émanant des différentes entreprises membres, et cherche les meilleures solutions au moment de commander les engins, sachant qu’évidemment il y a des versions, des modèles, des versions plus adaptées que d’autres. Cela ôte une épine du pied aux cadres qui ont déjà un grand nombre de paramètres à gérer.
Par inférence, cela impacte (positivement) le service offert à la clientèle : les professionnels qui se déplacent au quotidien savent qu’en cas de panne ou de défaillance, tout est coordonné en amont. Selon les métiers, cela peut vraiment constituer une différence considérable.
Voilà un bel exemple de la manière dont les grosses entreprises et les petites structures, souvent opposées à priori, peuvent fonctionner de concert et soulager les concernés de certaines problématiques propres à ralentir, voire compromettre le bon déroulement de leurs tâches au quotidien.
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